Ces dernières grèves ont montrés encore une fois, que les travailleurs du public ne font pas grève pour ceux du privé, mais que pour défendre leurs intérêts bien réels. Les conducteurs de train, RATP et SNCF, ont un acquis social bien à eux: ils ont la retraite à 50 ans. La raison invoqué? La forte mortalité dans cette profession... quand les trains fonctionnaient au charbon. L'acquis social que les conducteurs de trains ont obtenus en ce temps était largement mérité, car très peu atteignaient l'age de 60 ans. Mais aujourd'hui?
Les conducteurs de train vivent comme les autres. Alors pourquoi conserver cet acquis social? Car le supprilmer c'est régresser, c'est enlever des acquis sociaux vous rétorqueront-ils.
Ainsi obtenir la retraite à 40 ans, c'est une avancée sociale !? L'acquis social, c'est de ne plus travailler du tout?

Il est de bon ton de réfléchir à la notion d'acquis social afin de stopper les dérives revendicatrices qui deviennent en fait la protection des privilèges sociaux.
En effet, un privilège est une différence de droit. Les aristrocrates avaient des privilèges: ils portaient l'épée, il possédaient etc... La retraite à 50 ans alors que plus rien ne la justifie devient donc un privilège.
L'acquis social, c'est quand les conducteurs de locomotives à vapeur ont obtenus que leurs conditions de travail particulières soient reconnus. En fait le texte du droit leur octroyant la retraite à 50 ans à été mal rédigé. Il aurait fallu mentionner la cause - le charbon, comme étant l'origine du droit. Ce dernier devant cesser quand la cause disparait.
Pourquoi les pompiers n'ont-ils pas un statuts marquant une spécificité sur la dangerosité de leurs métiers. Pas tous les pompiers, mais ceux qui risquent leur vie. Ils ont une espérance de vie plus courte que la moyenne. La société doit légiférer et prendre en compte cette différence. Mais en France c'est impossible, les marxistes ont déjà tous pris. Il n'y a plus de ressources, la France est en déficit sévère.
Encore une fois les "forces de progrès" que sont les marxistes, ont plombés les notions comme la justice, l'égalité et par conséquence l'avenir, en négociant de manière corporatiste, contre la société, sans aucun esprit humaniste.
La France est minée de l'intérieur par une corruption sociale qui unis les syndicats marxistes et les élites énarques de l'état. Ils sont unis dans la même corruption sociale, ils se partagent le même gateau.

Il est indispensable que les droits spécifiques octroyés à certaines personnes ne peuvent l'être qu'avec l'accord de la majorité de la population, voté par une assemblée constituante. La rédaction de ces règles doivent être faites avec tout le bon sens qu'impose la responsabilité de l'avenir d'un pays. Ceci ne peut être fait que dans un petit pays ayant une très forte cohésion nationale. Enfin , les rédacteurs de ces textes doivent être reponsables, c'est à dire subir les conséquences de leurs décisions. Mais ceci est un autre sujet.